vendredi 10 septembre 2010

Les Maîtres Mots

Je me suis concocté une petite philosophie pour ce voyage, à suivre tous les jours, dans toutes les situations. A se répéter tous les matins, dans les situations critiques et aux moments de faire des choix. COAC

Conscience
Ouverture
Adaptation
Carpé Diem


1/  Conscience:  - de la chance de vivre (encore plus de vivre son rêve,
                                 vivre en bonne santé et dans de bonnes conditions)
                          - de mes limites physiques et mentales
                          - de l'environnement (nature, humains, temps, climat,
                                  traditions...)
                          - du danger, de l'impossible et de leurs contraires.


2/  Ouverture:     - sur le monde, sur les autres, sur moi-même
                          - sur les us et coutumes, sur les opportunités
                          - de l'esprit, du coeur, des bras (envie de tenter des
                                  stands Free Hugs ;o) )
                          - sur la connaissance, la liberté, le changement.


3/  Adaptation:      en fonction des contraintes et des envies,
                                   des situations problèmatiques et des acquis.


4/  Carpé Diem:     profite à fond du moment présent,
                                     Ne regarde pas trop derrière et pas loin devant.

jeudi 9 septembre 2010

Identité

Bah alors ça c’est à peu près moi :







Ben oui, vous ne voulez tout de même pas que je me foute à poil d’entrée de jeu ??? Chaque chose en son temps…

Pour ceux qui ne me connaissent pas ou peu, je vous laisse le loisir de me découvrir au travers de mes écrits. Je peux tout de même vous dire que j’ai l’esprit plutôt jeune et ouvert, l’âme d’un explorateur en mode Rock & Roll, très bonne tolérance au manque de confort et d’esthétisme, assez bonne capacité d’adaptation et d’orientation. Plutôt solitaire voire sauvage, maladroit ou malchanceux (tout dépend de l’angle vue !!), assez faignant et anxieux, très allergique aux contraintes, aux extrémistes de tous bords et aux bains moussant.


J’aime Mère Nature, la Liberté, le Développement Durable, les Légendes et Enigmes, et les nouvelles Expériences.

J’aime pas la Pollution sous toutes ses formes, la Violence sous toutes ses facettes et sa partenaire la Souffrance, la Société de Consommation, les Limites et Connaitre la Fin Avant.

Bah voila, et s’il fallait résumer je dirai que je suis une sorte d’écolo-anarchiste, spécimen assez rare avec une philosophie ni dieu-ni maitre mais dans le respect de son environnement ( humains y compris ).

Eutopia ???

Alors déjà pourquoi ce titre ??? Eutopia, ça ne veut rien dire !!! Utopia, ok mais Eutopia ???



Vous découvrirez que je suis de nature curieuse et rêveuse, ce qui m’a amené à me pencher sur les travaux d’Aldous Huxley, l’homme qui a écrit « les portes de la perceptions » qui a donné le nom du mythique groupe The Doors. J’ai particulièrement apprécié son roman « Île » paru en 1962, résumé avec les mots de wikipédia :       Île présente l'équilibre qui peut arriver à exister entre mouvement et méditation (soutenue par l'absorption d'un dérivé de la mescaline) à partir du moment où la tolérance et le respect prévalent. Cette « civilisation du syncrétisme » a été fondée par le fils d'un pasteur protestant et le fils d'un maharadjah bouddhiste : elle est donc très industrieuse et entreprenante tout en pratiquant la méditation. Le système social exposé ici n'est pas sans intérêt : les enfants ont la possibilité de s'appuyer sur des adultes qui ne sont pas leurs parents biologiques - ce faisant, il y a une forme de garantie mutuelle de respect qui permet aussi la cohésion du groupe. Autarcique, ou plus exactement, autonome, Île possède des richesses qu'elle gère de façon respectueuse de l'environnement - elle sera envahie un matin par son puissant voisin, un jeune sultan avide de puissance et d'argent, manipulé par un groupe international.


Il y est donc question d'une île parfaite, utopique, qui tombera dans un système capitaliste. Mais d’après son créateur, Thomas More dans les années 1500, Utopie a approximativement pour sens : « sans lieu ». Idéal mais qui ne se trouve nulle part. Cependant, comme j’ai lu sur wikipédia :          dans l'en-tête de l'édition de Bâle de 1518 d'Utopia, Thomas More utilise, exceptionnellement, le terme d’Eutopia pour désigner le lieu imaginaire qu'il a conçu. Ce second néologisme ne repose plus sur la négation ou mais sur le préfixe eu, que l'on retrouve dans euphorie et qui signifie bon. Eutopie signifie donc « le lieu du Bon ».
Si de ces deux mots, seul le premier passera à la postérité, ils n'en sont pas moins complémentaires pour décrire l'originalité de l'Utopia de More. En effet, cette œuvre a pour caractéristique d'être, d'une part, un récit de voyage et la description d'un lieu fictif (utopia) et, d'autre part, un projet d'établissement rationnel d'une société idéale (eutopia). Ces deux aspects du texte de Thomas More ont amené à qualifier d'utopie des œuvres très différentes.


Eutopia pour une expédition autour du monde, à la recherche des lieux les plus agréables à vivre pour moi, ce n’est pas trop mal comme nom. Le logo, lui ne me quitte pas depuis quelques années, il est tatoué sur mon pied ( clin d’œil à Bruno et Mathieu de Madinina ). Je vais donc essayer de trainer cette tortue jusqu’au bout de son pèlerinage sur le ventre de Gaïa.